une rose de bon matin
Ce matin, à l’occasion du dernier jour de séminaire, j’aimerais offrir une rose à chacun de mes co-stagiaires ( Asma, Fouzia, Rabia, Houda, Amélie, et Abdou), et à mon formateur Pierre Carnicelli. Une rose pour la bonne raison que « pour une seule rose, il faut arroser cent mille épines » et comme disait Nizsche « il faut beaucoup de chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse ». une rose, parce qu’il ne faut pas perdre de vue, qu’on arrose les fleurs, pas les mauvaises herbes. Arrosons et cultivons nos pensées positives, ça nous fera grandir et nous rendra plus en paix avec nous-même et avec les autres. Merci à vous, de prouver qu’on peut être foncièrement différents et richement complémentaires, qu’on peut penser autrement en restant ouvert à l’autre, qu’on peut désapprouver et coopérer quand même.